Une nouvelle polémique ébranle la Fédération Espagnole de Football, alors que le feuilleton du baiser forcé du président de la Fédération Espagnole de Football, Luis Rubiales à une joueuse de l’équipe nationale féminine n’a pas encore livré son dernier épisode.
En effet, l’instance faitière du football espagnol est confrontée à de nouvelles accusations. Cette fois-ci, il s’agit d’une révélation sombre qui a refait surface au lendemain du limogeage de Jorge Vilda, sélectionneur des championnes du monde.
Selon une enquête du média américain, New York Times, les problèmes de sexisme dans le football espagnol ne sont pas récents et ne se limitent pas au seul président de la Fédération Espagnole de Football.
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Le média a révélé dans son enquête qu’Ignacio Quereda, l’ancien sélectionneur de l’équipe féminine, qui est resté plus d’une décennie à la tête de l’équipe (1988 et 2015), avait tenu des propos très durs aux joueuses.
A en croire le New York Times, ce dernier aurait lancé à ses joueuses des propos durs à savoir : » Ce dont vous avez vraiment besoin, c’est d’un homme bon et d’un gros p3nis « .
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