Le nouvel homme fort du Gabon, le général Brice Oligui Nguema, a préalablement eu, l’accord d’une puissance occidentale avant de pénétrer son putsch contre le président Ali Bongo, proclamé élu à la suite des élections générales du 26 août 2023.
D’après un article du journal français le Monde, le président de la transition au Gabon a eu des conversations téléphoniques avec l’ambassadeur de France et les dirigeants d’un certain nombre d’États d’Afrique centrale avant le coup d’État.
« Il m’a dit que l’armée ne voulait plus servir à tuer des Gabonais après chaque élection. Son putsch ne s’inscrit pas dans la même logique que ceux du Sahel. Il n’est pas question pour lui de demander le départ des Français », a révélé une source du journal.
Toujours selon le journal français, le coup d’État au Gabon vise à éviter une crise post-électorale après la proclamation des résultats.
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