Cette information a fait réagir de nombreux internautes. Selon une information rapportée par le média français, Les Echos, le jeune Ali Bongo, précédemment élève au collège Sainte-Croix de Neuilly, se montrait paresseux et peu éveillé en classe.
Mais pour Omar Bongo, père du jeune élève, son fils ne doit pas rater le bac.
L’histoire est devenue une affaire d’État. Il l’a même fait savoir au président français Giscard d’Estaing.
Au cas contraire, les relations avec le Gabon (uranium, gisements divers, valises discrètes…) en souffriraient.
C’est comme ça que dans les hautes sphères du pouvoir français, les choses ont été mises en œuvre pour faire réussir le bac à Ali Bongo.
On organisa donc la disparition de liasses de copies dans deux matières à fort coefficient pour permettre à Ali Bongo d’obtenir les notes nécessaires pour passer.
En effet, à l’époque, la perte de copies du bac se voyait compensée par la note de 14 sur 20 attribuée systématiquement à chaque élève ainsi désobligé, a fait savoir le média.