Cette prise de position intervient après la déclaration du porte-parole du gouvernement sur le caractère inclusif du nouveau code. D’après Boni Yayi, le nouveau Code électoral qui, selon la mouvance présidentielle, renforce les partis politiques, porte les marques de l’exclusion.
À l’en croire, le Code dans sa forme actuelle présente « les semences d’une division entre les fils et les filles de notre patrie commune » et une vision alarmante pour l’avenir de la démocratie dans le pays. Il propose ainsi, dans le but d’assurer des élections justes et équitables, une révision rapide et approfondie du document approuvé par les députés.
Cette proposition d’une révision rapide, de l’ancien président Boni Yayi, a pour fondement, les dispositions légales, notamment l’article 30 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et l’article 57 de la constitution.
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