La cybercriminalité est une réalité et elle est punie sévèrement par la justice béninoise.
Dans cette lutte, la police Républicaine s’est dotée de moyens technologiques qui lui permettent de retracer les téléphones portables ; mieux, de pouvoir recueillir des éléments de preuves dans les ordinateurs même si les données sont effacées.
Ils sont des centaines de personnes qui sont détenus dans les prisons béninoises pour avoir acheté un téléphone portable d’occasion.
Prévenir vaut mieux que guérir. Convaincu de cet adage populaire, la hiérarchie policière prévient les populations d’éviter l’achat des téléphones portables de seconde main ou d’occasion.
« Si vous ne voulez pas être embarqué dans des procédures judiciaires dans lesquelles vous n’avez rien à voir, alors éviter d’acheter des smartphones d’occasion et des ordinateurs de seconde main », a-t-il laissé entendre.
Inviter à se prononcer sur le phénomène dans une radio de la place, le commissaire Eric Yérima, a invité les populations à être sur leur garde.