Avis aux couples : Voici la fréquence idéale pour faire l’amour selon votre âge

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Cet ancien joueur se lance dans la p0rn0gr@phie (Photo)
Crédit Photo : DR

Les médecins sont unanimes sur un point. Faire l’amour à un rythme qui vous convient est bon pour la santé. Selon de nombreuses études, en faisant l’amour, vous améliorer votre humeur et vous paraissez moins stressé.

Entre autres, la libération des fameuses hormones. Celles du plaisir, la dopamine, l’ocytocine, celle de l’amour, mais aussi les endorphines, la prolactine ou encore la testostérone… Autant dire que la nature est bien faite et que tout est fait pour nous faire apprécier ce moment.

Faire l’amour est une source de plaisir, d’intimité et de connexion émotionnelle dans une relation amoureuse. D’ailleurs, pour certaines personnes, une vie sexuelle épanouissante est intimement liée au bonheur et au bien-être.

Lorsque l’amour est naissant, le désir sexuel entre les partenaires est à son paroxysme. On est dans l’euphorie, les premiers émois, la passion. Autant dire que durant cette période, les rapports sexuels sont fréquents et surtout, plein de fougue.

Avec le temps, cependant, ce que l’on constate, c’est que l’effusion du début s’essouffle et les moments de sexe deviennent plus espacés. Ce qui ne change pas toutefois, c’est que faire l’amour est toujours un moment de bonheur, attendu avec impatience.

La seule différence est que quand la relation est bien installée et que la routine s’en mêle, la fréquence des rapports sexuels n’est plus la même.  C’est sans doute ce constat qui a poussé les chercheurs de l’Institut Kinsey à se pencher sur le sujet. A savoir, à quelle fréquence fait-on réellement l’amour, selon l’âge et quelle est celle recommandé pour une vie sexuelle plus épanouie.

A quelle fréquence faire l’amour selon votre âge ?

Ce qu’il faut tout d’abord préciser, c’est que chaque couple est différent. Les habitudes concernant la vie sexuelle des partenaires varient et dépendent de plusieurs facteurs. Toutefois, d’après les résultats de l’étude de l’Institut Kinsey, chaque catégorie d’âge à ses réalités, ses habitudes, son rythme. Il arrive qu’un couple soit en perte de vitesse par exemple en raison de problèmes qui nécessitent l’intervention d’un sexologue.

Les rapports sexuels espacés peuvent aussi être causés par une infidélité ou l’absence de désir de la part de l’un des partenaires. De manière générale, il est recommandé de faire l’amour au moins une fois par semaine. Ce qui n’est pas vraiment beaucoup si on est en couple et amoureux. Cela correspond à 52 fois dans l’année. Autant dire que c’est vite fait ! Heureusement, il s’agit d’une moyenne. Cela qui nous laisse espérer que la majeure partie des couples passent plus de temps enlacés que cela. Quoi qu’il en soit, voici ce que révèle cette étude très pertinente sur les habitudes des couples.

  1. De 18 à 29 ans

Apparemment, cette tranche d’âge serait la plus active sexuellement. Elle est aussi celle qui se reproduit le plus. En effet, l’étude de l’Institut Kinsey dévoile que les jeunes âgés de 18 à 29 ans feraient l’amour environ 112 fois par an. Cela correspond à une moyenne de 2 fois par semaine. Si cela peut paraître étonnant (en effet, on s’attendrait à des chiffres plus élevés), cela s’explique aisément. Entre 18 et 30 ans, les personnes sont en quête d’une situation stable. Que ce soit sur le plan professionnel ou personnel. On cherche à s’établir et souvent, on met un peu de côté les préoccupations comme celle de se mettre en couple. La plupart des jeunes ont des relations par intermittence.

  1. De 30 à 39 ans

A partir de 30 ans, les individus cherchent souvent à se poser. C’est le moment de se mettre en couple et d’entamer une relation sérieuse. Paradoxalement, le nombre de relations sexuelles chute. Ce, pour de nombreuses raisons. Tout d’abord, il y a les exigences de la vie quotidienne qui demandent de l’investissement en temps et en énergie, ce qui laisse peu de manœuvre une fois qu’il est temps de passer au lit. D’après l’étude Kinsey, les adultes de cette catégorie seraient à 86 rapports sexuels par an. Soit, une peu plus d’une « séance de sexe » par semaine.

  1. De 40 à 49 ans

Le nombre de rapports sexuels chute également à partir de 40 ans. Dans cette catégorie, la moyenne tourne autour de 69 parties de jambes en l’air seulement ! Les raisons : les mêmes que dans la catégorie précédente, auxquels se rajoutent souvent le fait qu’il y ait des enfants et donc, encore moins de temps et d’occasion pour se faire du bien à deux !

  1. Les plus de 50 ans

Si on devait se fier à la tendance des chiffres que révèlent l’étude Kinsey, on devrait s’attendre à une autre baisse. Toutefois, les chercheurs de l’Institut n’ont pas jugé utile de se pencher sur la fréquence des rapports sexuels pour cette catégorie d’âge. Pour des raisons inconnues. Ce qui ne signifie par pour autant que les seniors n’aient pas une vie sexuelle épanouie. Il serait même logique de penser qu’ils sont plutôt bien gâtés de ce côté. Car, en effet, une fois que les considérations d’ordre professionnel sont mises de côté et que les enfants ont quitté le nid il y a plus de chance d’apprécier les moments d’intimité et de s’y adonner plus fréquemment.

Ce qu’il faut cependant noter, c’est que les résultats de cette étude sont à prendre avec des pincettes. En effet, le panel qui a été sélectionné pour en faire l’objet est trop réduit pour représenter la réalité pour tous les couples. De même, on ne peut pas transposer les réalités du pays de l’oncle Sam avec celles qui sont chez nous. Il y a donc de l’espoir et cette étude aura quand même réussi à nous alerter et à faire en sorte que nous prenions plus de temps pour faire l’amour afin de ne pas sombrer dans l’ennui, la routine, mais aussi fragiliser la vie de couple.

En matière de sexe, chaque couple a son propre rythme

On dit souvent qu’en matière de sexe, chaque couple a son propre rythme. En effet, la sexualité est une dimension très personnelle et intime de la relation entre deux individus. Chaque personne a ses propres besoins, désirs, préférences et attentes sexuelles. Elles peuvent être influencées par divers facteurs tels que l’âge, la santé, l’humeur, le niveau de stress, l’intimité émotionnelle, etc.

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