Le désir sexu3l est un besoin charnel que le partenaire (femme et l’homme) éprouve. Si ce sentiment d’attirance pour le partenaire n’est pas alimenté, le couple risque de faire face à des problèmes qu’il pouvait éviter.
Selon le conseil du médecin sexologue français, Damien Mascret, dans le couple, les deux partenaires sexu3ls doivent explorer à deux leurs zones érogènes. C’est ce qu’il explique dans son livre « Le cycle du désir » paru aux éditions du faubourg.
À l’en croire, la routine et l’insatisfaction sexu3lle s’installent au sein du couple quand la femme ou l’homme n’a pas une vision claire de leur désir ainsi que de son déclenchement. « Disposer d’une vision claire de son cycle du désir, c’est avoir sous la main une boussole au lieu de se laisser balloter par les événements sans comprendre ce qui nous arrive », a-t-il écrit.
D’après Damien Mascret, chaque personne doit explorer sa personnalité érotique. Cette personnalité n’a rien à voir avec la personnalité que l’on adopte en société. Le médecin explique que pour ce faire, la personne se doit « d’accepter de regarder en face sa personnalité érotique comme celle de ses partenaires, et d’apprendre à les réunir pour vivre le meilleur de l’alchimie érotique du couple « .
Si une asymétrie est envisageable occasionnellement ou régulièrement, il reste fondamental selon lui que chacun y éprouve du plaisir, et que tout soit l’objet d’un choix consensuel. Sinon, la satisfaction sera incomplète et le cycle du désir risque de se gripper. « Se connaître et connaître l’autre est la garantie d’une sexu@lité riche, variée, surprenante, motivante », résume-t-il.
Avant d’ajouter : « Il leur manque en fait une composante essentielle : l’imprévu, l’anticipation de surprises ou de nouveautés. Car l’hormone clé de la motivation est la dopamine.
Lorsque tout est prévisible, notre cerveau ne sécrète plus les pics de dopamine qui nous excitent, nous poussent à l’action. C’est ainsi qu’un rapport sexuel en apparence satisfait désamorce le cycle du désir ».
Selon le sexologue, il faudrait au contraire se contraindre à recharger ce qu’il appelle la « batterie du désir » en partageant régulièrement des pensées positives stimulantes, tout en tenant compte bien sûr des besoins individuels. « la personne qui n’éprouve pas de désir spontané avant celui de son ou sa partenaire manquerait de libido. Il s’agit simplement d’un décalage de désirs », a-t-il évoqué.
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